Journée de travail – samedi 06 avril 2024

Mis en avant

Bonjour à tous. 

Après un  chantier de rentrée très réussi, voici déjà le moment de penser au suivant.

Prochaine journée de travail le Samedi 06 Avril 2024.

RDV à 09H00 sur le parking du Hirtz.

Nous interviendrons sur le secteur Unter Rehfelsen/Dromedar Stollen/Feste Bamberg.

Au programme, débroussaillage et nettoyage des différents ouvrages et boyaux.

Merci aux propriétaires de 4X4 de nous indiquer si vous serez présents et en mesure d’assurer le transport du matériel (et éventuellement de quelques intervenants) jusqu’au Bergpfad via l’impasse des Alpins.

Et bien sûr, comme d’habitude, repas et boissons  tirés du sac.

Pour une bonne organisation de notre chantier (préparation de l’outillage nécessaire etc…), merci de bien vouloir confirmer votre présence à Eric (mettler.eric@wanadoo.fr), à Benjamin benjamin@hotmail.fr ) avec copie à Robert (rlenhardt@vialis.net au plus tard le 30 mars. Merci de votre compréhension.

A bientôt sur la montagne.

Journée de travail -Septembre 2020

Si la pluie du matin n’arrête pas le pèlerin, celle qui tombe jusqu’à midi, n’arrête pas les Amis, surtout quand ils sont bien décidés (personne n’a été dissout, personne ne s’est noyé). Ceci étant et bien que la terre en avait grand besoin depuis bien longtemps, et que nous l’attendions tous depuis des semaines aussi, ce samedi, nous nous en serions bien passé quand-même. Comme annoncé, nous avons donc basculé sur le plan B et les quelques rares sportifs, qui sont passés par là, malgré le mauvais temps, nous l’on confirmé sur place, beau travail. Les rampes sont toutes fixées et un certain nombre de marches ont été rajoutées dans des endroits où les escaliers relevaient plus de l’escalier de géant que du sentier familial. Par ailleurs, nous avons réaménagé des endroits où la stabilité devenait critique, en déportant le sentier vers l’amont.Nous avons également gratté un peu le premier passage couvert, qui commençait à être vraiment bas de plafond et avons remis des pierres le long de la barre de retenue terre, à l’entrée du souterrain plongeant situé un peu plus loin.Il reste à finir quelques endroits sur le passage extérieur du Untere Rehfelsen et ce sera la fin du « lifting » de la Suisse Lippique.Le soleil ayant fait son apparition en toute fin de matinée, nous avons pu réchauffer et sécher nos carcasses pendant la pause casse-croûte. Après la reprise, nous avons profité du beau temps pour aller préparer le support de la plaque de remplacement sur le monument des chasseurs allemands, mais le support était beaucoup plus abimé que prévu et il faudra donc passer dessus une deuxième fois.Dernier chantier mensuel de l’année 2020, le samedi 07 novembre, mais ça, c’est une autre histoire.

Réparation du Jägerfelsen

Chantier de la classe défense de Villersexel

Chantier de la classe défense de Villersexel, retour d’expérience.

Lorsqu’on attend une classe d’adolescents et d’enseignants, pour un chantier de travail manuel, qui plus est sur un champ de bataille, on s’attend à tout. Forts des expériences passées, nous nous attendions donc au meilleur, comme au pire.

Et puis arrive la classe défense du collège de Villersexel.

Arrivés le mercredi 09 octobre dans la matinée, ils ont pris possession des lieux au chalet du club de ski de Cernay, sur les pentes du Molkenrain.

L’après-midi, nous avions programmé une visite du HWK, histoire de les mettre dans l’ambiance de ce qui les attendait les deux jours suivants et les familiariser avec le fond historique du chantier.

Une cérémonie de recueillement, organisée dans la crypte du Monument National, par le Souvenir Français de Villersexel, a précédé la visite qui, pour la mise dans l’ambiance, s’est déroulée sous la pluie et dans les nuages. Le ton était donné.

Le lendemain matin, petit coup de fil du professeur d’histoire pour me prévenir que, vu les cordes qui tombaient sur zone, il avait retardé le départ pour le chantier d’une heure. Finalement, une légère accalmie nous a décidés de nous mettre en route, non sans nous être équipés pour faire face aux intempéries qui nous guettaient et grand bien nous a fait. En effet, la météo nous a gratifiés toute la journée de ces nombreux revirements, dont seuls les cieux connaissent les secrets.

Cependant, rien n’y fit, le moral de notre jeune troupe n’en a même pas été égratigné et c’est tout juste s’il n’a pas fallu les obliger d’arrêter, pour entamer le chemin du retour, avant la tombée de la nuit. Le chantier avait très bien avancé et nous avions toutes les raisons d’être satisfaits de cette première journée de travail.

Le soir, le temps que chacun passe sous l’unique douche du chalet et de se réchauffer auprès du « Kachelofen », le repas fut pris à l’auberge du Molkenrain. Au retour, petites discussions éparses et dernier regard vers le ciel, qui commençait à se dégager et hop, au lit tout le monde.

Le lendemain matin, belle surprise, il fait beau, ou presque, mais ça allait en s’améliorant. Le chantier, repris là où nous l’avions laissé lé veille, repris avec autant d’entrain et toujours dans la bonne humeur. A midi, l’objectif était atteint et nous avons donc décidé, qu’après le repas et sur le chemin du retour, nous ferions un crochet par le Rocher Panorama, afin de pouvoir, enfin, profiter de cette magnifique vue sur la plaine d’Alsace, vu que le jour de la visite, nous y étions dans les nuages.

Les adieux ont été un des grands moments d’émotions, tellement ces quelques heures passées ensemble, avaient été intenses.

Les membres de l’association, qui ont participés à ces trois jours, sont encore sous le charme de cette classe si attachante. J’ai, personnellement, vécu une expérience comme jamais je n’en avais vécue avec des élèves et pourtant, j’en ai côtoyé beaucoup. Leurs sourires, qui venaient du fond du cœur, étaient autant d’ouvertures sur le monde et aux autres. Ils n’avaient d’égal que l’engagement et l’ardeur  au travail sans faille de toute la classe, dans cette entreprise si particulière, qu’est l’entretien d’un champ de bataille.

Cette agréable surprise vaut également pour les enseignants qui les accompagnaient. Nous les avons perçus, non seulement comme entièrement dévoués à leur mission d’enseignants, mais également à l’épanouissement et aux sollicitations permanentes de leurs élèves.

En définitive, le ressenti n’était pas tant celui de l’encadrement d’un groupe d’élèves et d’enseignants, mais plutôt celui d’avoir encadré une famille nombreuse et c’était tout simplement merveilleux.

Chantier avec l’association Expedition Hartmannsweilerkopf 2016

Nous travaillons une journée par an avec une association Allemande qui s’appelle Expedition Hartmannsweilerkopf (EHK), qui est composée d’Allemands, de Français et de Suisses et qui travaillent beaucoup sur de la documentation historique d’Outre-Rhin ainsi que sur la reconnaissance de terrain. Certains d’entre eux sont d’ailleurs également membres chez nous. Depuis quelques temps et toujours dans une optique de bons échanges inter/intra associatifs dans le domaine de la nature et de l’histoire, nous leurs proposons de se joindre à nous pour quelques journées de travaux et eux nous proposent des randos/visites de champs de bataille de la région avec l’aide des documents historiques en leurs possession. N’oublions pas qu’en tant qu’organisme associatif, c’est l’échange et la franche camaraderie qui nous fait vivre et c’est donc tout naturellement que nous essayons de développer ces échanges d’années en années.

Pour cette journée du 28 Mai nous étions une petite quinzaine de participants, un des membres de l’association EHK était venu, comme a son habitude, de Suisse avec son véhicule transport de troupes « Pinzgauer », ce qui facilitait grandement l’acheminement des participants et du matériel. Notre responsable de chantier nous a rejoints directement sur site avec sa toute nouvelle acquisition 4*4 réceptionnée à peine 1 heure plus tôt.

Arrivé au niveau de la courbe 5, on laisse les véhicules pour rejoindre les cuisines du LIR124 à pieds avec les matériels. L’objectif du jour à expliquer en français et en allemand, oups, ce n’est vraiment pas la tasse de thé de notre responsable travaux, heureusement que l’on peut compter sur l’aide des Suisses pour traduire et de l’Anglais comme langage international, quelques fois le langage des signes. L’italien aide aussi un peu. Enfin les consignes sont comprises, nous réalisons des groupes de travaux inter associatifs pour faciliter les choses et nous pouvons nous atteler à la tâche.

Tout d’abord dé-brou-sai-ller le sentier. En effet, cette année la météo ne nous a pas gâtés, tout a poussé en même temps et partout, ce qui ne nous a pas facilité la tâche et ne nous la facilitera pas dans les prochains mois sur l’entretien courant des sentiers.

Sécuriser et élargir l’accès à la cantine du LIR124 dont le sentier n’était plus connu que par quelques habitués.

On retrousse ses manches,

Et on s’y met,

Réaliser une petite plate-forme autour du banc installé par de jeunes scouts internationaux quelques mois plus tôt, afin que son accès soit plus aisé

Et enfin, nettoyer un peu les extérieurs de la cantine, enlèvement du lierre qui tombait sur toute la façade de l’édifice et cachait la plaque de celui-ci,  nettoyage des marches d’accès au premier étage.

Ce qui permet de mieux voir le camouflage réalisé en crépi sur tout l’édifice et ce afin de mieux se fondre dans le paysage.

Une journée bénéfique pour l’accès de tous aux vestiges dans des conditions de sécurité augmentées.

Le responsable travaux de l’association en est resté bouche-bée. C’est cela la « Deutsch Qualität » ???

En tout cas ça en a fait rire plus d’un.

Tout est bien qui fini bien, dans la joie et la bonne humeur et surtout dans le fait qu’il était 14h00 et qu’il était temps d’aller manger en terrasse chez nos Amis de la Cantine Zeller,

Une dernière petite photo afin d’immortaliser l’événement

Et on s’en retourne à la Cantine

Merci à tous les participants, c’est un plaisir chaque années et … Benjamin l’a promis, l’an prochain il essayera de s’améliorer en Allemand, doucement mais surement !

 
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Chantier Maillet 2016

Notre joyeux groupe de retraités Lyonnais est venu pour la troisième année nous donner un coup de main durant la période du 21 au 23 mai. Oui, l’an dernier, ils étaient venus plus longtemps, mais cette année ils ont décidé d’aller donner un petit coup de main au Linge durant les 3 premiers jours de la semaine. Notre président était d’ailleurs allé grossir les rangs pour l’occasion.

Revenons-en au Hartmann. Nous avions décidé, avec plusieurs membres, de nous atteler à la réfection d’un double poste de tir de Minenwerfer allemand (MW Ida et Adèle), oublié et non représenté sur la carte Schultz. Il se trouve pourtant à moins de 20 mètres d’un chemin de grand passage, aux abords du Hirtzenstein. Peut être était-ce dû au fait qu’un autre abri se trouvant juste devant, le cachait au regard des randonneurs.

Toujours est-il qu’après étude de l’abri, nous décidâmes que celui-ci méritait bien un petit entretien, ainsi qu’une création et une sécurisation de ses chemins d’accès.

Nous avons formé plusieurs groupes de travail.

Un premier travaillant à l’élaboration d’un escalier d’accès en rondins de bois. Pour cela, il a fallu dégager la zone du futur lieu de passage. Puis, apporter des rondins de bois secs pour les placer de manière homogène sur la pente et les mettre en place à l’aide de deux piquets préalablement appointés.

Un second travaillant au dégagement du remblai des postes de tir bétonnés où étaient placés les Minenwerfer (mortiers allemands). Travaux rudes car assez physiques, réalisés sur les deux journées. Cette action nous a permis d’y voir plus clair et surtout de mettre en évidence le procédé d’amortissement du recul des tubes, ainsi que la petite fenêtre qui permettait de faire passer la cordelette de mise de feu qui actionnait la pièce. En effet, comme les Minenwerfer sont des armes à tir courbe, la pression du recul se fait vers le bas et le moyen le plus efficace pour absorber ce recul était d’avoir de la terre meuble sous l’emplacement du socle du canon.

Et enfin, un troisième groupe s’est occupé de dégager le chemin de raccordement entre les deux postes de tir. Ce chemin devait être couvert par des madriers en bois sur lesquels d’un côté (le plus exposé) les constructeurs de l’époque avaient ajouté un mur d’environ 1 mètre de haut en pierre maçonnés. Cette protection servait également d’abri pour les servants de pièces de Minenwerfer, qui ne se trouvaient pas dans le poste de tir au moment du départ du coup,  mais à l’extérieur, à cause du l’intensité de la déflagration, mais surtout pour ne pas être touchés en cas d’explosion accidentelle dans le poste de tir au départ du coup, d’où la mise à feu au moyen d’une cordelette.

D’autres actions de moins grande envergure ont aussi été réalisées, comme le remontage en pierre sèche d’un muret de soutènement dans un angle d’une des entrées de poste de tir, ou encore l’enlèvement d’arbres morts encroués au dessus du chemin d’accès ou des abris. Petits travaux mais tout aussi importants si l’on veut que l’abri perdure et que la sécurité des randonneurs soit assurée dans la durée.

Le groupe était composé de 4 retraités et de trois à quatre membres des AHWK selon les journées. Toujours dans la joie et la bonne humeur, comme chaque année.

Nous avons clos le chantier par un agréable repas au domaine du Hirtz avant que nos amis du Sud ne reprennent la route. Nous les remercions encore une fois car, comme chaque année, les travaux réalisés en si peu de temps ont été formidables. C’est toujours un plaisir de vous recevoir sur la montagne.

Voici quelques beaux clichés du chantier :

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Eagle Scout, das Projekt von James Ramsay.

Denjenigen die unsere Berichte über die Arbeitseinsätze verfolgen, ist es wahrscheinlich nicht entgangen, dass am 2. April vier Bänke von amerikanischen Pfadfindern auf dem HK aufgestellt wurden. Dies war eigentlich die letzte Phase eines langen Arbeitsprozesses in der persönlichen Laufbahn eines „Scout“ mit dem Ziel, die höchste Stufe zu erreichen: Eagle. Was ist eigentlich ein „Eagle“ Scout?

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Ein Eagle Scout ist ein Pfadfinder der die höchste Stufe seiner persönlichen Laufbahn bei den « Boy scouts of America », erreicht hat.

Seit seiner Gründung 1911 haben bisher 1,7 Millionen junge Leute dieses Niveau erreicht. Der Titel ist definitiv erworben, deshalb heißt es «Once an Eagle, always an Eagle» (Einmal ein Adler, immer ein Adler).

Um den Rang eines Eagels zu bekommen, muss man auch heute noch 21 badges in seiner Laufbahn erworben haben, aber auch hilfsbereit gewesen sein, seinen Sinn für die Pfadfinderbewegung  und seine Fähigkeiten als Führer bewiesen haben. Außerdem muss man ein spezifisches Projekt organisiert, geleitet und verwaltet haben.

Dieser Rang wird  mit einem Abzeichen und einer Medaille symbolisch ausgezeichnet. Später können sie mit einer Palme versehen werden im Zusammenhang mit weiteren geleisteten Forderungen, der Dienstzeit in den Funktionen, der Führungskapazität und der erworbenen badges.

James hat seine Leidenschaft für den HK während eines gemeinsamen, mit den Amis du Hartmannswillerkopf (AHWK) und den französischen Pfadfindern des Florival organisierten Arbeitseinsatzes,  entdeckt und entwickelt. So wurde es für ihn schnell selbstverständlich, seine persönliche Teilname an der Erhaltung des Berges für sein „Eagle Projekt“ ein zu setzen.

Während einer Geländeerkundung mit den AHWK hat er verschiedene Orte, wo die vier Bänke zweckmäßig aufgestellt werden könnten, ausgesucht und davon drei festgelegt. Nach einer äußerst sorgfältigen Vorbereitung und der Zusage für das Projekt von seiner Führung und des Vereins, hat er eine Gruppe in sein Vorhaben mit einbezogen.

Das Aufstellen der Bänke war nicht unbedingt die leichteste Aufgabe, denn wie für die Infanteristen waren auch hier die letzten hundert Meter die schwierigsten. In der Tat kommt am HK immer irgendwann  der Moment wo das Auto nicht mehr weiter kommt und der Auftrag zu Fuß weiter geht und meistens dann genau dort wo die größte Steigung anfängt. Also mussten nicht nur die Bänke, sondern auch pro Bank 40Kilo Beton und 6 Liter Wasser geschleppt werden und dies meist über 500 Meter, jedes Mal.

Die ausgesuchten Aufstellplätze sind, der Friedhof Bonnegoutte, die Küche des LIR 56 auf dem Kreutzotterpfad und der Kardinalfelsen.

Das Resultat des fast über zwei Jahre überbrückenden Vorhabens, sieht im Gelände ganz ordentlich aus, wie man es anhand der Fotos nachvollziehen kann. James kann also über die Ausführung seines  Projekts zu recht stolz sein. Der Verein bedankt sich bei Ihm und all denen die daran mitgearbeitet haben. Die Wanderer werden in Zukunft etwas Ruhe auf diesen schönen Bänken genießen können.

Nun braucht er nur noch seinen Arbeitsbericht zur Abnahme und Anerkennung vorlegen um seinen Eagle Status zu bekommen.

Hans Peter Tombi nous a quitté

Notre Montagne vient de perdre un des ses fervents adeptes
Unser Berg hat einen seiner leidenschaftlichen Anhänger verloren

 

En effet, le 19 février 2013, Hans Peter Tombi, nous a quittés brutalement suite à une rupture d’anévrisme.

Am 19. Februar 2013 ist Hans Peter Tombi plötzlich an einem geplatzten Aneurysma gestorben.

 

Né le 05 mai 1944, à Bühl, il entre dans la Bundeswehr qu’il quittera en 1976 avec le grade de commandant.

Après une période d’étude en Suisse, il exercera la responsabilité de directeur de filiale d’assurance de la Hamburg-Mannheimer Versicherung.

Er wurde am 5. Mai 1944 in Bühl geboren, tritt später  in die Bundeswehr ein und scheidet 1976 mit dem Dienstgrad Major, aus.

Nach einem Studium in der Schweiz arbeitet er als Filialleiter der Hamburg-Mannheimer Versicherung.

 

A partir de 1995, il développe un intérêt sans cesse grandissant pour Hartmannswillerkopf et commencera à regrouper une masse considérable de documentation allemande.

Ab 1995 wächst sein immer stärkeres Interesse für den Hartmannswillerkopf und er fängt an eine bedeutende Masse an deutscher Dokumentation zusammen zu tragen.

Lors d’une visite en 2010 Während einer Führung 2010

Lors d’une visite en 2010
Während einer Führung 2010

Membre très actif de l’association française « Les Amis du Hartmannswillerkopf », au début des années 2000, Hans Peter nous a donné une nouvelle impulsion dans la documentation et la photographie de nos journées de travail sur le site et initié les travaux systématiques de recherche dans les archives pour faire le rapprochement terrain et histoire.

Anfang der 2000er ist Er aktives Mitglied des französischen Vereins « Les Amis du Hartmannswillerkopf ». Hans Peter hat dem Verein einen neuen Impuls, bezüglich der Dokumentierung und der mit Fotos belegten Arbeitsberichte, gegeben. Gleichzeitig fördert Er die Notwendigkeit die Geländearbeiten eng mit historisch-dokumentarischen Recherchen zu verbinden.

 

Pour aller encore plus vite dans ce domaine, il fonde la communauté d’intérêts « Les Amis du Hartmannsweilerkopf » côté allemand en 2005. Avec cette association sœur il n’est plus limité uniquement au HWK et étend ses recherches sur l’ensemble du front 1914-1918 des Vosges.

Um in diesem Gebiet schneller voran zu kommen, gründet er im Jahre 2005 auf der deutschen Seite die Interessengemeinschaft „Les Amis du Hartmannsweilerkopf“. Mit diesem Schwesterverein erweitern sich Seine Forschungen über den Hartmannswillerkopf hinweg über das gesamte Kampfgebiet der Vogesen 1914-1918.

 

Depuis 2011, d’abord timidement puis de plus en plus activement, un rapprochement entre les deux associations s’était amorcé. Echanges de renseignements, traductions mutuelles, lien vers le site internet de l’autre, invitations aux sorties organisées, ne sont que quelques uns des aspects que revêtait ce rapprochement.

Seit 2011, zuerst langsam und dann immer aktiver, entwickelt sich ein aufeinander zukommen beider Vereine. Austausch von Neuigkeiten, gegenseitige Übersetzungen, Internetseitenlink zum anderen, gegenseitige Einladungen zu Veranstaltungen sind nur einige der Aspekte dieses Entgegenkommens.

Les deux présidents au cours d’une sortie commune au Violu en 2012 Beide Präsidenten bei einer gemeinsamen  Besichtigung am Violenkopf 2012

Les deux présidents au cours d’une sortie commune au Violu en 2012
Beide Präsidenten bei einer gemeinsamen Besichtigung am Violenkopf 2012

C’est à l’aune de cette évolution qu’on peut mesurer le temps et le travail perdu durant toutes ces années.

Nous devrions en tirer les leçons d’humilité qui s’imposent lorsque nous nous mesurons au temps et à l’Histoire.

An der Elle dieser Entwicklung kann man messen wie viel Zeit und Arbeit über diese ganzen Jahre verloren gingen.

Wir sollten daraus die unumgänglichen Demutslektionen, die sich uns aufzwingen wenn wir uns der Zeit und der Geschichte anmessen, wahrnehmen.

 

Journée de travail avec la RK Nördlicher Breisgau (NB)

Samedi 08 septembre, chantier de la RK NB, renforcée de 5 camarades américains du 1er bataillon du 4ème régiment d’infanterie de la 7ème division US stationnés à Hohenfels.

Le programme est assez chargé. Poursuite des travaux à la Roche Sermet où les dégâts sont plus étendus qu’il n’y paraissait au départ et il faut aller chercher des pierres, utilisables pour la maçonnerie, assez loin du chantier.

Poursuite également des travaux dans le Sengerngraben, au poste de mitrailleuse maintenant bien connu de tous. Là aussi, la récupération des pierres n’est pas le moindre des labeurs, car toutes ne sont pas forcément adaptées au type de travaux entrepris.

Un troisième objectif était fixé autour du monument du 15.2 ou du débroussaillage est nécessaire en permanence. Il faut dire que la météo de cette année aura été plus favorable au développement de la végétation qu’à ceux qui étaient censés maîtriser son expansion.

Les chantiers Roche Sermet et Sengerngraben se sont bien passée et nous avons même pu débroussailler (un peu) sur le monument du 15.2

La pause de midi a été l’occasion d’approfondir un peu les relations et pour certains de réviser ce qui leur restait de connaissances d’anglais scolaire. Mais nous n’avons pas à rougir, les camarades américains n’avaient pas beaucoup de français scolaire à réviser non plus.

Expérience unique ou à renouveler ? L’avenir nous le dira, mais somme toute, cela restera un bon souvenir et le cercle de ceux qui connaissent le HWK s’est encore un peu élargi.

Voici quelques clichés d’avant, pendant et après le travail…..

Journée de travail avec la RK Nördlicher Breisgau (NB)

Samedi 08 septembre, chantier de la RK NB, renforcée de 5 camarades américains du 1er bataillon du 4ème régiment d’infanterie de la 7ème division US stationnés à Hohenfels.

Le programme est assez chargé. Poursuite des travaux à la Roche Sermet où les dégâts sont plus étendus qu’il n’y paraissait au départ et il faut aller chercher des pierres, utilisables pour la maçonnerie, assez loin du chantier.

Poursuite également des travaux dans le Sengerngraben, au poste de mitrailleuse maintenant bien connu de tous. Là aussi, la récupération des pierres n’est pas le moindre des labeurs, car toutes ne sont pas forcément adaptées au type de travaux entrepris.

Un troisième objectif était fixé autour du monument du 15.2 ou du débroussaillage est nécessaire en permanence. Il faut dire que la météo de cette année aura été plus favorable au développement de la végétation qu’à ceux qui étaient censés maîtriser son expansion.

Les chantiers Roche Sermet et Sengerngraben se sont bien passée et nous avons même pu débroussailler (un peu) sur le monument du 15.2

La pause de midi a été l’occasion d’approfondir un peu les relations et pour certains de réviser ce qui leur restait de connaissances d’anglais scolaire. Mais nous n’avons pas à rougir, les camarades américains n’avaient pas beaucoup de français scolaire à réviser non plus.

Expérience unique ou à renouveler ? L’avenir nous le dira, mais somme toute, cela restera un bon souvenir et le cercle de ceux qui connaissent le HWK s’est encore un peu élargi.

Voici quelques clichés de pendant et après le travail…..

Journée de travail du 1er sept. 2012

Grand jour pour les associations du Club Vosgien de Cernay et Amis du Hartmannwillerkopf (AHWK) que ce samedi 1er septembre 2012. En effet, le projet qu’avaient les deux présidents, Christian Schott et Robert Lenhardt, d’instaurer une journée de travail commune, s’est en fait imposé de lui-même dans le cadre de l’aménagement d’un projet de circuit de randonnée par la section de Cernay, (circuit de mémoire de la guerre de 14-18 par le vallon du Silberlochruntz et le vallon du Siehlbaechle, au départ de Wattwiller). Ce circuit permettra aux randonneurs de découvrir une partie habituellement négligée par les visiteurs qui concentrent leur curiosité sur la partie sommitale ou les lignes allemandes. Car, contrairement à une idée très répandue, les lignes françaises recèlent de petits lots de trésors méconnus et qui ne demandent qu’à être découverts ou redécouverts.

 

 

Une partie de ce circuit passant par un sentier dévolu à la responsabilité des Amis du HWK, les deux inspecteurs des sentiers, Claude Rubenthaler et Francis Ackermann, se sont vite rappelé de ce vœux resté pieux jusqu’à ce jour, d’autant plus que le chantier interne des AHWK est toujours programmé le premier samedi du mois.

C’est ainsi que 6 membres de la section de Cernay (dont Gilles qui en fait a une « double nationalité », puisque membre des deux sections) et 6 des Amis du HWK se sont mis à l’œuvre dès le matin, en partant du lieu dit « Bains Douches » pour les premiers et du « Monument Serret » pour les seconds.

Débroussaillage, élagage, curetage du sentier et reconstruction de murets étaient au menu. Le temps, gris mais néanmoins clément, facilita la tâche, malgré les craintes qu’il avait inspiré le matin.

Tout travail méritant récompense, les deux groupes se sont retrouvés pour un repas tiré du sac accompagné de quelques bonnes bouteilles, le tout dans une ambiance très conviviale. L’après midi vit l’achèvement des travaux avec la mise en place d’un petit escalier, du déblaiement d’une partie de tranchée effondrée et le dégagement de l’accès au poste Hennequin.

 

Fort de cette expérience, rendez-vous est pris pour le prochain chantier en commun. Un coup de main entre voisins, ça ne se refuse pas et puis, plus on est de fous…

 

Mais en attendant, le prochain chantier « est déjà dans le tube ». Les réservistes allemands de la RK Südlicher Breisgau, renforcés par des soldats de la 7ème division US stationnés à Hohenfels en Allemagne, sont attendus le samedi 8 septembre.